À Casablanca, les tarifs de piscines olympiques et semi-olympiques ont augmenté au grand dam des habitants, surtout ceux des quartiers populaires, comme la zone de Ben M’sik et Hay Hassani, ainsi que Tit Mellil, souhaitant pratiquer la natation. Ceux-ci sont en colère contre la Société nationale de Réalisation et de Gestion des installations sportives (Sonarges), mandatée par la commune.