La douane marocaine, en coordination avec la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) et la Gendarmerie royale, s’évertue à déjouer toutes les tentatives de blanchiment d’argent à travers l’or dont les auteurs sont des Marocains et des...
Un architecte marocain vient de mettre en effervescence les services de sécurité marocains après avoir déclaré à la police qu’un général français espionnait le Maroc, et plus précisément ses infrastructures militaires.
Un architecte marocain s’est, de nuit, et bien habillé, rendu dans un commissariat de police (police touristique) à Marrakech et a, selon Assabah, la source de cette information, demandé à voir un responsable pour lui faire part d’informations de grandes sensibilité et importance.
Aussitôt mis en contact avec un officier supérieur, ledit architecte a commencé son récit, parlant d’un général français qui aurait posé moult questions à l’architecte au sujet de bases militaires marocaines. Mais là où ça devenait étrange est la partie dans laquelle l’architecte (c’est un vrai architecte, son identité a été vérifiée) indiqua que ce dernier général aurait opéré ses actes d’espionnage (auprès de l’architecte) à l’hôpital psychiatrique Ibn Nafis, de Marrakech, là où précédemment il se faisait soigner.
Mais l’affaire étant trop sensible, et bien qu’il ne faisait aucun doute que l’architecte était encore malade mentalement (surtout que ses propos étaient incohérents) et que ce général ainsi que ses débats avec l’architecte étaient pures hallucinations, la police a néanmoins effectué les vérifications nécessaires avant de soumettre cette affaire au parquet qui décida de renvoyer l’architecte à l’asile pour s’y faire à nouveau soigner.
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