Faisant référence au meurtre de Nahel, tué par un policier à Nanterre (Hauts-de-Seine) le 27 juin, Amnesty International a demandé jeudi à la France de reconnaître « le racisme systémique dans le maintien de l’ordre » et la « refonte totale des règles françaises régissant l’utilisation des armes à feu » par les forces de l’ordre.