Dans un podcast, l’universitaire et activiste amazigh Ahmed Assid s’est prononcé sur plusieurs sujets dont la répression des voix contestataires au Maroc, la liberté d’expression ou encore la laïcité.
Emission "1D2C" de l’association racines
La position de « Human Rights Watch » (HRW) et d’« Amnesty International » (AI) suite à la dissolution de l’association Racines a été catégoriquement rejetée par les autorités marocaines, estimant qu’il s’agit d’une ingérence abusive dans les affaires de la justice.
La délégation interministérielle aux Droits de l’Homme a exprimé son étonnement suite à la diffusion d’un communiqué conjoint des deux organisations qui « contenait des évaluations et des conclusions générales injustifiées et dénuées de preuves admissibles et d’indicateurs révélateurs », considérant que le « droit de saisir la justice et l’accès à un procès équitable sont garantis à l’ensemble des justiciables, conformément aux normes internationales, à la Constitution et aux lois nationales y afférentes ».
Pour les autorités marocaines, le communiqué de AI et HRW exprime une volonté délibérée de porter atteinte aux acquis et réalisations du Maroc à ce sujet, notamment en ce qui concerne l’augmentation du nombre d’associations actives dans divers domaines dont le nombre est évalué à 140.000 associations.
Le fait pour le parquet général d’avoir choisi la justice civile au lieu de la justice répressive a été une décision pertinente, lit-on encore dans le communiqué, accusant les deux organisations d’aller à l’encontre des règles internationales régissant la création d’associations.
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