35,55%, pour les Sciences humaines, 33,81%, pour les Lettres, 10,91%, concernant les Sciences islamiques, 10,69%, en Sciences de la Vie et de la Terre (Svt), 3,38%, pour les Sciences économiques, 2,94%, en Sciences physiques, 2,73%, en Sciences mathématiques, en langue arabe, en Baccalauréat professionnel et en Sciences technologiques.
La répartition, selon les branches, des 779 détenus qui ont passé les épreuves du Baccalauréat de la session de juin. Parmi eux, 17 l’ont fait en état de liberté.
Pour atteindre un tel objectif, la DGAPR a obtenu des facilités juridiques. Ainsi, 15 centres d’établissements pénitentiaires ont servi de centres de composition. Selon elle, la discipline et le calme ont animé les candidats au cours du déroulement des épreuves.
Les fonctionnaires du Ministère de l’Education nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, ont supervisé et coordonné le déroulement du Baccalauréat chez les détenus. Ils appliquent ainsi les termes de la coopération entre leur institution, la DGAPR et la Fondation ’Mohamed VI pour la Réinsertion des détenus.