Une Marocaine de 28 ans est décédée après avoir pris des pilules amincissantes achetées auprès d’une inconnue qui faisait la promotion de ces produits sur Instagram.
Ce jeudi, 27 juin 2019, l’ouverture du 3e sommet annuel, "Women In Africa" (WIA), a réuni, à Marrakech, près de 500 personnes, à savoir des leaders économiques, gouvernementaux et culturels de plusieurs nationalités. On pouvait noter, à cette rencontre, plusieurs délégations de femmes originaires du Moyen-Orient, des Etats-Unis et d’Asie, des femmes, y compris 54 participants du continent africain.
Placé sous le thème, « Comment les femmes africaines engagent le monde et créent un nouveau paradigme ? », cette rencontre vise à contribuer au renforcement du leadership des femmes africaines dans tous les domaines d’activité et à la promotion de leur rôle dans la réalisation du développement de leurs pays et du continent, à travers des réflexions et des propositions concrètes.
Pendant deux jours, les sujets se rapportant au rôle des femmes africaines dans le monde, à savoir « La place des femmes dans la lutte contre le changement climatique »,
« La préparation de la prochaine génération des filles innovatrices pour les emplois de demain », « La corruption et son apport considérable à l’émancipation et au développement de leur continent », ont été au cœur des discussions de cette rencontre marquée par d’autres événements parallèles.
Faut-il le rappeler, le Programme, "WIA 54", récompensant 54 femmes entrepreneures africaines à haut potentiel, qui construisent l’Afrique de demain, a connu sa 2e édition, lors de ce sommet.
Initiée en 2017, l’initiative WIA se veut une plateforme internationale de développement économique et d’accompagnement des femmes africaines leaders et à haut potentiel. Il a ouvert des antennes à Dakar, Casablanca, Paris, New York et à Londres, pour soutenir une nouvelle génération de femmes, préoccupées par le sort de l’Afrique.
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