Le Chef du gouvernement marocain est visé par des accusations de conflits d’intérêts. À l’origine de ces accusations, le prêt espagnol pour le projet de construction d’une usine de dessalement d’eau de mer à Casablanca, confié à trois entreprises dont Afriquia Gaz, filiale du Groupe Akwa, détenu à 67 % par la famille d’Aziz Akhannouch.