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Yasmina Baddou, ancienne ministre de la Santé, a soutenu Hamid Chabat dans sa course à la présidence du parti de l’Istiqlal, un soutien plus qu’apprécié puisque que Chabat veut la nommer coordinatrice du parti dans la région du Grand Casablanca.
Sa désignation est l’une des étapes de la réorganisation du parti de l’Istiqlal dans la région du Grand Casablanca, où Yasmina Baddou jouit d’une certaine influence en tant que députée de la circonscription d’Anfa.
Chabat ouvre ainsi la voie à Yasmina Baddou, qui brigue le poste de maire de Casablanca, une manœuvre qui confirmerait le jeu des alliances ayant porté Hamid Chabat à la tête de l’Istiqlal.
Des 29 membres du comité exécutif de l’Istiqlal, 60% y siègent pour la première fois. Parmi les 12 anciens qui restent au comité exécutif, on retrouve Yasmina Baddou, Karim Ghellab, Taoufiq Hejira, Bouamar Tighouane et Adil Douiri, en vue pour le poste de ministre des Finances.
Abdelouahed El Fassi, candidat perdant, accuse lui des parties influentes externes à l’Istiqlal, d’avoir exercé de fortes pressions sur des membres du conseil national, les poussant à voter pour Chabat. Ces même parties ont porté Chabat à la tête de l’Istiqlal dans l’optique d’obtenir un remaniement ministériel, affirme El Fassi.
Yasmina Baddou s’en défend et indique qu’elle a choisi le camp de Hamid Chabat trois mois avant le début de la course à la présidence de l’Istiqlal.
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