Construits en 2015 pour reloger des familles vivant dans des bidonvilles, ces appartements sont le fruit d’un accord entre la société Samir et l’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH).
Malgré l’achèvement des travaux il y a déjà huit ans, les logements restent inoccupés. La FGD pointe du doigt des lenteurs administratives concernant le lotissement du terrain, la conservation foncière et le raccordement aux réseaux d’eau, d’électricité et d’assainissement.
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Dans un courrier adressé au Wali de la région Casablanca-Settat et au Gouverneur de la préfecture de Mohammédia, le parti dénonce une occasion manquée d’améliorer les conditions de vie de nombreuses familles, s’inquiétant également de la dégradation progressive de ces logements laissés à l’abandon.
Le parti appelle à une action rapide pour distribuer ces appartements aux bénéficiaires et ainsi éliminer les bidonvilles de la ville, objectif initial du projet.