L’association Matkich Waldi (Touche pas à mon enfant) demande à la justice de condamner à des « peines maximales » un ancien ambassadeur marocain, poursuivi pour prostitution de mineures.
La secrétaire d’État américaine aux Affaires étrangères Hillary Clinton, a à nouveau appelé à l’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie, vendredi à Washington. Le Maghreb Arabe a lui, été décrit comme l’un des groupements régionaux les moins intégrés au monde.
Hilary Clinton a indiqué lors d’une conférence sur "les transformations démocratiques dans les pays du Maghreb Arabe", que "la réouverture de la frontière entre le Maroc et l’Algérie, serait une étape importante vers cette intégration souhaitée".
L’une des priorités du gouvernement américain serait, toujours selon Hillary Clinton, l’encouragement des échanges commerciaux entre les deux pays. Une pareille intégration permettrait notamment aux pays du Maghreb Arabe de créer des emplois et d’ouvrir de nouveaux marchés. La chef de la diplomatie américaine avance même qu’aucune raison ne justifie la fermeture des frontières entre le Maroc et l’Algérie.
La fermeture de ces frontières plombe l’économie de la région depuis bientôt 20 ans et fait perdre annuellement au Maghreb deux points de croissance. Cette décision avait eu lieue, pour rappel, en 1994 , après les attentats de l’Atlas Asni à Marrakech, attribués par Hassan II aux services algériens.
En 2011, des rumeurs faisaient état de pressions exercées par Washington sur l’Algérie pour la réouverture des frontières terrestres avec le Maroc, précédant une tournée de Clinton au Maghreb.
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