
Au Maroc, des écologistes appellent à mettre fin à la « plantation anarchique » de palmiers d’origine américaine et à adopter une « politique de reboisement réfléchi dans l’aménagement du territoire ».
La ville de Casablanca a été classée parmi les villes les moins vivables au monde, à la 112e place sur un total de 140 villes sélectionnées par le groupe britannique "The Economist Intelligence".
L’enquête basée sur une quarantaine d’indicateurs, dont la stabilité politique, la santé, la culture, l’environnement, l’éducation, le taux de criminalité et les infrastructures de base, place la métropole économique du Nigeria, Lagos, à la fin du classement.
Si les conditions de vie à Casablanca sont pires que celles de Tunis (104e), Alger arrive loin derrière Casablanca à la 135e position, alors que la capitale de la Jordanie, Amman, se classe à la 102e position.
Casablanca, pourtant classée en 2011 par le même organisme parmi les villes les plus vertes d’Afrique, étouffe aujourd’hui. La métropole court d’ailleurs selon certains rapports vers une véritable catastrophe écologique.
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