Au Maroc, des ingénieurs et autres consultants en informatique ont trouvé la formule pour échapper au fisc. Ils proposent de manière informelle leurs services aux grandes entreprises qui les paient via des intermédiaires.
Le prince Moulay Hicham se trouvait lundi au tribunal de première instance de Casablanca où il a assisté à la première audience sur l’affaire qui l’oppose à Abdelhadi Khairat. Le député USFP avait accusé Moulay Hicham en août dernier, d’avoir contracté des crédits auprès de banques marocaines sans jamais les rembourser.
Un périmètre de sécurité a été dressé tout autour du tribunal en prévision de l’arrivée du prince Moulay Hicham.
L’audience a finalement été reportée au premier octobre prochain sur demande de l’avocat de Khairat, qui s’était plaint du fait que le cousin germain du Roi Mohammed VI se soit assis sur les places réservées aux avocats.
Dans une déclaration à la presse Moulay Hicham a appelé Khairat à apporter des preuves sur ces détournements de fonds publics vers l’étranger. Le prince a également expliqué que les propos "sordides" du directeur des quotidiens "USFP", "Al Ittihad Al Ichtiraki" et "Libération", portent atteinte à sa personne.
Abderrahim Berrada, avocat de Moulay Hicham, a fait savoir que le Prince Rouge réclamait un dirham symbolique et la publication de la condamnation dans les quotidiens Al Massae, Akhbar Al Yaoum, Assabah, Al Alam et Al Ittihad Al Ichtiraki.
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