Maroc : une malade du cancer raconte l’enfer des cliniques privées
Une ex-enseignante, âgée d’une soixantaine d’années et atteinte d’un cancer du sein, déplore la situation de la médecine au sein des cliniques privées qui n’est plus un métier...
Trois mois après s’être fait diagnostiquer un cancer, une mère de trois enfants lance un cri de détresse à l’attention des Marocains. La dernière carte qu’elle joue, après avoir perdu espoir dans les établissements hospitaliers publics.
A l’instar des malades du cancer dans de nombreuses villes du royaume, Malika Bouthich a été abandonnée par les hôpitaux publics, après avoir frappé à toutes les portes à la recherche d’une prise en charge médicale.
Pourtant, Malika, âgée de 58 ans, habite à Skhirat, à proximité des deux centres hospitaliers les plus importants du pays. Qu’en est-il alors des habitants des régions enclavées ?, s’interroge le site Akhbarona.
Dans son désespoir, et face au dilettantisme du corps médical et paramédical, Malika et sa famille ont lancé un ultime appel de détresse aux personnes de bonne volonté pour solliciter leur contribution à la prise en charge médicale.
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