
Le Maroc attire plus que jamais les investissements étrangers. En témoigne le dernier rapport publié par l’Office des Changes.
Lors d’un point de presse à Alger, Douglas J. Wallace, l’attaché commercial de l’ambassade US à Alger vient d’affirmer que la majorité des sociétés désirant investir au Maghreb choisit le Maroc, au lieu de l’Algérie, car le climat des affaires y est plus clément.
Selon Douglas J. Wallace : « Les américains préfèrent investir au Maroc où, il y a 8 ans déjà, les lois sont devenues très simples et la politique économique a changé en faveur d’une plus grande facilitation ».
En outre, ce dernier rapporte que seules les grandes sociétés américaines ont une chance de réussir en Algérie. "C’est dommage, car les petites entreprises sont le moteur de la croissance", déplore-t-il.
Le conseiller commercial a étalé une liste de plusieurs freins à l’investissement en Algérie, dont la règle des 51/49%. Cette règle insiste sur le fait que l’actionnariat national doit être d’au moins 51% du capital social.
Selon lui : « On pense que cette règle ne devrait s’appliquer que pour les secteurs stratégiques tels que les hydrocarbures comme cela se fait dans d’autres pays ».
Entre autres inconvénients rencontrés en Algérie, Wallace dévoile le fait que le gouvernement algérien est trop impliqué dans l’économie relativement au secteur privé.
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