La production de l’hydrogène vert dans la région de Dakhla et son utilisation pour le dessalement de l’eau de mer, permettront au Maroc d’atteindre l’autosuffisance alimentaire. C’est ce que révèle une étude menée par des chercheurs marocains.
Moins de six mois après l’augmentation du prix de l’essence, du gasoil et du fioul industriel au Maroc, le gouvernement Benkirane s’apprête à revoir à la hausse les tarifs de l’électricité.
Le gouvernement planche sur une nouvelle tarification, afin de répondre aux doléances de l’Office National d’Electricité, qui a essuyé de lourdes pertes au cours des dernières années en vendant, clame t-il, l’électricité moins chère que le coût de sa production.
Le ministère des Affaires générales et de la Gouvernance achèverait actuellement une étude qui permettra une meilleure évaluation du coût de l’électricité et permettra de proposer une nouvelle structure tarifaire.
Cette augmentation devrait avoir un impact indirect sur les prix des produits de consommation de base, comme c’était le cas pour la hausse du prix du carburant, laquelle avait entraîné une flambée du prix de transport de fruits et légumes.
Avant même son application, cette hausse est donc sujette à polémique au Maroc, où l’on dénonce un augmentation des prix alors que la commune urbaine de Casablanca par exemple, paye 300 millions de dirhams de factures d’électricité fictives.
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