Chakib Benmoussa, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement primaire et des Sports, s’est exprimé sur l’adoption par des institutions éducatives étrangères au Maroc de programmes promouvant l’homosexualité.
L’économie marocaine n’est pas assez compétitive face à la concurrence mondiale. C’est le résultat d’une étude réalisée par la direction des études et des prévisions financières (DEPF), pointant du doigt la formation et l’Administration comme principaux responsables.
Malgré l’adhésion du Maroc à l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et les mesures prises pour renforcer ses exportations, ainsi que les nombreux accords de libre-échange conclus avec plusieurs pays, le Royaume peine à s’affirmer comme un acteur économique efficace sur le plan international.
Pour y remédier, le Maroc doit développer son capital humain, via la formation technique et professionnelle, pour qu’elle puisse répondre aux besoins réels du marché de l’emploi. Le système éducatif doit subir une réforme profonde afin d’améliorer la performance des établissements scolaires marocains, comme le recommande cette étude.
L’amélioration de l’environnement de l’entreprise est une condition au renforcement de la compétitivité. Pour y arriver, il est impératif de moderniser l’administration, tout en facilitant l’accès des petites et moyennes entreprises aux crédits bancaires.
L’étude préconise d’investir dans la recherche scientifique et de faire appel aux chercheurs marocains résidant à l’étranger pour tirer profit de leur expérience, en mettant à leur disposition l’infrastructure nécessaire à la recherche et à la création.
Et les chiffres sont alarmants, le déficit commercial du Maroc est passé de 44 milliards de dh en 2000 à 201 milliards en 2012, soit quasiment 5 fois plus.
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