Un diplomate marocain accusé du vol d’un téléphone portable cellulaire à l’aéroport d’Eceiza, 22 km au sud-sud-ouest de Buenos Aires en Argentine, sera probablement déféré devant la Cour suprême du pays.
L’affaire remonte au 16 octobre 2010, quand un voyageur s’était plaint de la disparition de son téléphone dans l’enceinte de l’aéroport. La police de la sécurité aéroportuaire (PSA) avait découvert le téléphone volé chez le diplomate marocain, rapporte le quotidien argentin Diario Hoy.
Le présumé suspect, troisième secrétaire de l’ambassade du royaume du Maroc à Buenos Aires, El Bachir Benamran, aurait mis en avant son immunité diplomatique pour éviter l’interrogatoire de la police aéroportuaire.
Si le juge fédéral instruisant l’affaire ne peut pas entendre le diplomate marocain, l’affaire serait alors portée devant la Cour suprême.