En plus d’exposer la vie de leurs auteurs et la sécurité du cortège royal, ces agissements constituent un crime aux yeux de la loi, écrit le ministère de l’Intérieur dans un communiqué démentant catégoriquement que des individus aient bénéficié d’un quelconque privilège en entravant le passages du cortège royal.
« Les services de sécurité accompagnant le cortège royal ne recevront aucune demande présentée de la sorte et quelle que soit sa nature », lit-on sur le communiqué, rappelant que « ces services ne sont pas responsables au cas où un malheur, qu’à ne Dieu ne plaise, arriverait aux auteurs de ces agissements ».
Malgré plusieurs rappels et des condamnations à de la prison ferme, beaucoup d’individus tentent de s’adresser directement au souverain en tentant de bloquer son véhicule, très souvent au péril de leur vie.