Il s’agit précisément de six projets conçus pour « le traitement des eaux usées, de stockage et de distribution des eaux traitées », rapporte l’Économiste, selon lequel les appels d’offres ont déjà été lancés par la Société de développement local (SDL) « Casa Baïa ».
D’un coût global de 189 millions de dirhams, qui seront subventionnés à plus de 50 % (100 millions de dirhams) par l’État, le programme sera financé par les différents partenaires, à savoir le conseil de la région de Casablanca-Settat, la commune urbaine de Casablanca, l’agence du bassin hydrographique de Bouregreg-Chaouia ».
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À terme, les infrastructures permettront d’irriguer les espaces verts de la Métropole et des parcours de golf à Casablanca et Mohammedia, souligne le journal, précisant qu’elles visent à assurer la sécurité de l’eau dans la région de Casablanca-Settat, à lutter contre les effets du changement climatique et à réduire le prix de l’eau dédiée à l’arrosage.
Prévu pour 2024, les infrastructures vont desservir parcours de golf d’Anfa, de la promenade maritime de la mosquée Hassan II, du parc de la Ligue arabe, des espaces verts s’étendant le long de l’autoroute et dans la préfecture des arrondissements de Ben M’sik, du jardin Alesco, des parcours de golf de Mohammedia, du Jardin Moulay Hassan, du jardin de la province de Mohammedia, des Jardins d’Anfa, du parc de l’Ermitage et du jardin Murdoch, détaille la même source.