
À Barcelone, il faut payer pour faire sa prière à la mosquée (vidéo)
À Barcelone, l’imam d’une mosquée a pris une décision pour le moins controversée et choquante à l’approche du mois de ramadan. Il impose une tarification aux fidèles qui,...
La Cour d’appel d’Oujda a rendu, mardi soir, son verdict dans l’affaire du raqi de Berkane, poursuivi en 2019 pour charlatanisme, adultère et chantage. L’homme avait été condamné en première instance à 10 ans de prison ferme.
Le juge qui a prononcé la sentence a confirmé le jugement rendu en première instance, tout en maintenant l’ensemble des chefs d’accusation retenus contre lui. Une annonce qui n’a pas manqué de susciter colère et indignation parmi la défense du prévenu.
L’affaire avait éclaté au grand jour en décembre 2018, lors d’une perquisition de son domicile par les services de police. Des vidéos à caractère sexuel, témoignant de ses nombreux abus, avaient été découverts dans son ordinateur. Elles avaient ensuite été publiées sur des sites pour adultes.
"Violeur en série", le quarantenaire se faisait passer pour un imam expert en "Roqia Charia" (exorcisme). Il invitait ses victimes à venir se faire exorciser chez lui, avant de les forcer à avoir des rapports sexuels. L’une de ses "patientes" avait témoigné à visage découvert.
Aller plus loin
À Barcelone, l’imam d’une mosquée a pris une décision pour le moins controversée et choquante à l’approche du mois de ramadan. Il impose une tarification aux fidèles qui,...
Les éléments de la police de Fkih Ben Saleh ont procédé à l’interpellation d’un "raqi" et de son assistante qui recevaient des clients dans un appartement loué.
Le fqih de Berkane a écopé de 10 ans de prison ferme, pour son implication dans une affaire d’exploitation de femmes, et d’abus sexuel sous couvert de "roqia charaia", ou...
L’enquête menée par la police de Tanger suite au dépôt d’une plainte pour agression sexuelle contre un « raqi » a révélé de nouvelles victimes. Ce dernier accueillait des femmes...
Ces articles devraient vous intéresser :