Le ministère de l’Éducation nationale a récemment autorisé les enseignants du public à donner des cours supplémentaires dans le privé, sous certaines conditions. Pour arrondir leurs fins de mois, ces professeurs devront obtenir une autorisation...
C’est une semaine bien mouvementée que vient de vivre le maire de la ville de Sebta. La crise engendrée par la proposition du gouvernement à la Moncloa d’enseigner la langue arabe dans les écoles comme une langue officielle de la ville soulève des tensions au sein des municipalités à Sebta.
Pour plusieurs députés, la langue arabe n’est pas une langue « officielle espagnole ». De ce fait, elle ne peut faire partie des programmes de l’Education nationale en vigueur en Espagne. D’autres ont souligné que les personnes parlant arabe à Sebta « ne parlent que le dialecte (la darija), ce qui n’est pas la langue officielle arabe et cela pose un grand problème ».
Sans oublier d’autres arguments qui avancent que si l’arabe fait partie des cours préparatoires comme le gouvernement l’a souhaité, le problème se posera au niveau des universités où cet apprentissage n’aurait servi à rien puisqu’il ne sera d’aucune utilité.
La Gazette du Maroc
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