Dans un entretien à TV5 Monde, Anissa Rami, journaliste spécialiste du rap revient sur les origines du rap marocain et son évolution dans le temps.
Bouchaïb Rmail, directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), vient de donner ses directives aux préfets et responsables des arrondissements de police à travers le Maroc, pour aider les policiers ayant des talents artistiques, à s’épanouir dans leur art.
Le patron de la DGSN a été très clair dans sa note administrative. Il faut encourager la création artistique dans les rangs de la police. Ainsi, les préfets sont appelés à dénicher les policiers ayant des talents de chanteurs, compositeurs et musiciens pour les aider à s’épanouir dans leur art.
Rmaïl veut une liste détaillée des policiers artistes, quel que soit leur domaine de compétence culturelle, afin que la fondation Mohammed VI des œuvres sociales des fonctionnaires de la sûreté nationale, puisse investir dans ces énergies.
D’après la note de Rmaïl, l’objectif de ce projet est que les policiers concernés puissent accéder au monde du spectacle et représenter la DGSN dans des évènements artistiques, au niveau national et international.
"La DGSN veut créer son propre Arab Idol", plaisante un policier cité par le quotidien Al Massae. Lors des fêtes de fin d’année, un agent de police de Tétouan, avait été sanctionné pour avoir chanté dans une boite de nuit de la ville.
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