Alors qu’il est censé financer les TPE et les jeunes porteurs de projets, avec des crédits fixés à des taux allant de 1,75 % à 2 %, le programme "Intelaka" ne semble pas faire l’unanimité. Sur la liste de ses pourfendeurs, s’aligne désormais l’ancien ministre, Najib Boulif, pour qui "Intelaka" est "Haram".