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Le ministre chargé des MRE, Mohamed Ameur, a plaidé à Genève pour une nouvelle politique migratoire commune qui tiendrait compte des facteurs économiques et sociaux.
C’est cette approche globale que le Maroc promeut au niveau régional et international, a-t-il souligné lors d’un panel organisé, mercredi, par l’Organisation Internationale pour les Migrations sous l’intitulé "Points marquants sur la scène migratoire, faits migratoires récents ou à venir".
Il a ajouté que le Maroc s’est énergiquement mobilisé pour lancer le dialogue sur la gestion concertée des flux migratoires et sur la nécessité de conjuguer les efforts des Etats concernés par le phénomène de la migration, de part et d’autre de la Méditerranée.
Le ministre a déploré qu’à l’aube du nouveau millénaire, la migration se caractérise par des phénomènes de déracinement, de marginalisation et d’exclusion, relevant à cet égard que la migration a été mêlée dans la confusion aux stratégies de lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale, d’où la montée du racisme et de la xénophobie.
Il a estimé que les politiques uniquement coercitives n’ont pas abouti aux résultats escomptés et ont, au contraire, renforcé la migration clandestine.
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