Ce nouveau report s’explique par l’absence du prévenu, 24 ans, au tribunal. Il avait profité d’une mise en liberté provisoire dont il avait bénéficié pour quitter le royaume. Le prévenu a été interpellé en décembre 2019 pour avoir violenté, violé et filmé une fille mineure de 14 ans dans son lieu de résidence.
Ce scandale avait suscité la colère de plusieurs associations de défense des droits de l’homme, dont « Touche pas à mon enfant ! », l’Instance démocratique marocaine des droits humains (IDMDH), ainsi que l’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH).
Celles-ci s’étaient portées parties civiles et avaient exigé que l’ambassade du Koweït, ayant présenté des garanties pour que l’accusé bénéficie de la liberté provisoire, se charge de le présenter devant le tribunal.