Au Maroc, le phénomène des « notes gonflées » continue de sévir dans des écoles privées. C’est du moins le constat fait suite à la fuite de certains relevés de note sur les réseaux sociaux après la publication des résultats du BAC 2024.
Le Moroccan Solar Race Challenge, compétition dédiée à la conception de voitures solaires, a pris fin le weekend dernier à Rabat. Treize universités et écoles d’ingénieurs marocaines ont participé à ce concours, premier du genre au Maroc.
Cette compétition a été initiée par l’Institut de recherche en énergie solaire et en énergies renouvelables (IRESEN), en partenariat avec l’Office chérifien des phosphates (OCP) et avec le soutien du ministère de l’Energie.
Le premier prix est allé à l’Ecole nationale supérieure d’électricité et de mécanique de Casablanca, pour son projet "ENSM Solar Team". La Faculté des sciences et des techniques de Tanger a remporté le second prix pour son projet "Solar Orcar", tandis que la troisième place a été accordée ex-aequo à la FST de Settat et à l’Ecole Mohammedia des ingénieurs. Les quatre établissements ont chacun reçu un chèque de 90.000 dirhams pour la réalisation d’une voiture fonctionnant à l’énergie solaire.
La deuxième étape du Moroccan solar race 2013 se déroulera en septembre prochain, avec l’organisation d’une course internationale de voitures solaires, à laquelle prendront part tous les établissements ayant participé à la première phase.
Le Maroc, qui veut se positionner comme un acteur majeur en matière d’énergies renouvelables, a entamé en mai dernier, les travaux de construction de la première centrale du complexe solaire de Ouarzazate. Baptisée "Noor", cette centrale fait partie d’un vaste chantier, qui permettrait au Maroc de devenir le plus grand producteur d’énergie solaire au monde.
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