Un policier marocain met en vente son rein sur Facebook
Hicham Jilali, officier de police marocain suspendu de ses fonctions, propose depuis plusieurs jours son rein à la vente à travers une annonce diffusée sur le réseau social...
Mohamed Hachani, président de la commune d’Aïn Harrouda à 16 km de Casablanca, vient d’affirmer qu’il était prêt à vendre ses reins pour rembourser les dettes de sa commune, où "Lydec" a suspendu l’alimentation en eau potable de cinq douars pour défaut de paiement.
"Depuis que les citoyens m’ont élu, je me considère comme étant leur propriété. Je le dis et je le répète, si je dois vendre mon rein pour servir mon pays et Aïn Harrouda je le ferai, car d’autres ont donné leur vie pour ce pays et cette commune", a écrit l’élu sur sa page Facebook.
Les habitants des cinq douars dépendant de la commune d’Aïn Harrouda sont endettés à hauteur de 10 millions de DH envers la Lydec, gestionnaire délégué d’eau, d’électricité et d’assainissement pour des factures d’alimentation en eau potable qu’ils ne payaient pas depuis 2011 sur conseil de certains élus, selon des sources locales.
Aller plus loin
Hicham Jilali, officier de police marocain suspendu de ses fonctions, propose depuis plusieurs jours son rein à la vente à travers une annonce diffusée sur le réseau social...
Meryem, Marocaine de 28 ans, mère de famille de Casablanca, veut vendre son rein pour subvenir aux besoins de ses quatre enfants.
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