
Au Maroc, une ONG appelle à l’installation d’antennes GPS sur les véhicules de service affectés à certains fonctionnaires afin d’éviter leur utilisation à des fins privées.
Le Maroc veut doubler les ventes d’automobiles à l’horizon 2020, pour atteindre quelque 250.000 véhicules.
L’objectif du Maroc est d’atteindre une production record de 500.000 unités en 2015, à travers les usines de Tanger, Kenitra et Casablanca, a fait savoir Aziz El Atioui, directeur de l’antenne espagnole de l’Agence marocaine de développement des investissements (AMDI), à l’occasion du 13e Congrès de l’automobile hispano-allemand.
En plus du coût compétitif de son industrie automobile, le Maroc veut se positionner en "porte d’entrée" de l’industrie automobile sur les marchés africains.
Toujours d’après El Atioui, l’industrie automobile marocaine est principalement exportatrice, et s’appuie pour cela sur ses connexions avec 130 ports dans 65 pays et ses accords de libre échange avec 55 pays.
Le secteur automobile marocain, l’un des principaux vecteurs de croissance dans le pays, a attiré une trentaine de sous-traitants automobiles installés dans la zone franche de Tanger et Kénitra, où ils font partie des plus grands employeurs.
A l’horizon 2015, le secteur devrait créer de 70.000 emplois et confirmer sa vocation de hub pour l’industrie automobile au Maghreb.
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