Le latéral droit marocain du Paris Saint-Germain, Achraf Hakimi, a confié avoir bénéficié d’une assistance psychologique il y a trois ans parce qu’il passait par des moments difficiles sur le plan personnel.
La situation est préoccupante et les signaux d’alarme sont au rouge. Les Marocains, même s’ils comprennent l’importance de donner de leur sang, sont une proportion infime à faire ce geste qui sauve. Ils sont moins d’1%. Un faible taux qui pousse les centres de transfusion sanguine à tirer sur la sonnette d’alarme.
Le don de sang, selon Al Massae, n’est pas une pratique réellement ancrée dans la société marocaine. Les statistiques officielles rendues publiques par les centres régionaux de transfusion sanguine sont inquiétantes et interpellent sur les stratégies à adopter pour que les Marocains s’intéressent vraiment à la chose.
En effet, selon le quotidien, moins d’1% des Marocains répondent à l’appel des centres régionaux de transfusion sanguine. Un chiffre en dessous des recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
C’est pour cela que des opérations de collecte de sang se sont déroulées dans les centres régionaux de transfusion sanguine, les universités, les établissements scolaires, les entreprises et les administrations. L’objectif, souligne le jours, est de réaliser 363.377 dons de sang.
D’après les plus récentes statistiques du premier trimestre 2019, un total de 90.880 donneurs de sang ont été recensés contre 40.869 donneurs pour la même période de l’année écoulée, ce qui laisse présager de bonnes perspectives pour la fin de l’année.
De même, ajoute Al Masse, les centres de transfusion sanguine de Rabat et de Casablanca comptent développer de nouveaux dérivés du sang en 2020.
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