
Les associations de défense de l’environnement dénoncent le non-respect des règles environnementales par certaines familles qui laissent d’importantes quantités de déchets sur les plages après y avoir rompu le jeûne pendant le mois de Ramadan.
L’homme qui s’était "amusé" dans une vidéo diffusée sur internet en octobre dernier, à brûler le Coran et à uriner dessus, a été relâché par le tribunal correctionnel de Strasbourg ce lundi. La justice estime que cette vidéo ne dépassait pas les limites de la liberté d’expression et stigmatisait des "actes terroristes auxquels la communauté musulmane ne peut être assimilée".
Le 11 avril dernier, le parquet de Strasbourg avait requis une peine de trois mois de prison avec sursis et 1000 euros d’amende à l’encontre d’Ernesto Rojas Abbate, 30 ans, pour avoir commis un acte incitant à "la haine à l’égard des Musulmans".
Portant un masque de diable, l’homme apparaissait sur la vidéo fabriquant des avions avec des pages du Coran, qu’il jetait sur des verres qui faisaient office des tours du World Trade Center. Il brûlait ensuite les pages du livre saint avant d’éteindre les flammes en urinant dessus.
L’acte jugé provocateur et appelant à la haine, est passible d’un an de prison et de 45.000 euros d’amende en France. Le jugement qualifié de lamentable par l’ONG Licra, qui s’était constituée partie civile, a soulevé une forte polémique dans les milieux musulmans en France.
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