L’affaire Rachid M’Barki du nom de l’ex-présentateur franco-marocain du journal de la nuit de BFMTV, mis en examen pour « corruption passive » et « abus de confiance » n’a pas fini de livrer tous ses secrets.
Deux gendarmes ont été arrêtés en flagrant délit de corruption, fin de semaine dernière à Tizi n’Isly, dans la région de Beni Mellal, par une commission d’enquête de la Gendarmerie Royale.
Les gendarmes ont éveillé les soupçons des enquêteurs, en quittant leur poste de contrôle. Ils ont été interpellés au moment où ils recevaient de l’argent d’un camionneur.
Les deux hommes, qui seront déferrés devant le tribunal militaire de Rabat, ont été placés en détention provisoire dans l’attente de leur procès.
Au classement 2012 de Transparency International sur l’état de la corruption dans le monde, le Maroc est 88e sur 176 pays. Le même organisme estimait dans son dernier rapport à 1,5 milliard de dollars, les pertes engendrées annuellement par la corruption au Maroc.
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