
Fusillade de « La Crème » à Marrakech : l’un des accusés relaxé
Seddik Rais, l’un des accusés dans l’affaire de la fusillade du café « La Crème » à Marrakech, a été relaxé mardi par la chambre criminelle près la cour d’appel.
Le racisme était bel et bien le mobile de l’auteur de la fusillade qui s’est produite hier, vendredi 23 décembre, à Paris, tuant trois personnes et blessant trois autres, toutes d’origine kurde.
Devant les premiers policiers arrivés sur les lieux, indique le JDD, l’auteur a expliqué avoir agi par « racisme ». Lors de son interpellation, l’homme, déjà connu de la justice pour des faits similaires, avait en sa possession de nombreuses munitions ainsi qu’un Colt45.
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Né en mars 1953, William M. a affirmé aux policiers s’être procuré l’arme auprès d’un ami rencontré dans un club de tir à Versailles, dans les Yvelines.
Légèrement blessé lors de son interpellation, l’auteur de cette fusillade devait être interrogé par les enquêteurs, son état étant jugé compatible avec le régime de la garde à vue.
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