L’Organisation marocaine des droits de l’homme (OMDH) a alerté le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, au sujet du non-enregistrement des nouveau-nés à leur lieu de naissance, l’invitant à trouver une solution définitive à ce problème.
La famille du défunt ministre de l’Intérieur marocain Driss Basri, a fêté dimanche dernier la naissance d’un petit garçon baptisé Driss, en hommage à son grand père.
Son papa, Taoufik Basri, est fils du défunt puissant ministre de l’Intérieur de feu Hassan II, lequel avait été déchu de ses fonctions quelques mois après l’intronisation du Roi Mohammed VI.
Seuls quelques proches ont assisté au baptême du petit-fils de Driss Basri, dont l’avocat Mohamed Ziane. Aucun des anciens amis du puissant vizir, n’a souhaité assister à la fête.
Ami intime du prince Moulay Rachid, Taoufik Basri était très proche de son père et avait très mal vécu le limogeage de celui-ci. Il l’avait d’ailleurs accompagné le 9 novembre 1999 au siège du ministère de l’Intérieur pour la passation des pouvoirs, dont il a gardé un souvenir aigri.
Malgré son exil doré à Paris, Driss Basri n’a jamais cessé de rêver de sa Chaouia natale, qu’il avait quittée dans les années ’60. Loin de ses enfants Hicham, Taoufik, Khalid, Wydad et Soukaïna, l’ancien "premier flic" du Maroc s’est éteint le 27 août 2007 à Paris.
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