A l’instar des étudiants d’universités en Inde, Mexique et Grande Bretagne, des étudiants marocains à l’ENSIAS, de l’Université Mohammed V à Rabat, et l’Université Privée de Fès (UPF), sont arrivés à mettre en place deux nanosatellites capables d’analyser l’atmosphère et les changements climatiques, à travers une capsule spatiale de haute technologie, rapporte l’Institut spatial britannique, KSF Space.
La capsule, qui sert à protéger les nanosatellites et d’autres composantes scientifiques, est fabriquée à partir de matières capables de résister à la pression dans l’espace et l’atmosphère, ainsi qu’aux changements brusques de température, a annoncé le directeur de l’Institut KSF Space, Mohamed Kiyali.
Prévu pour le mois de mai 2019, le lancement de la capsule sera effectué en mémoire du premier astronaute russe, Youri Gagarine, avec le concours d’une société spatiale indienne.
Par ailleurs, l’atterrissage de la capsule sera enregistré à une distance de 40 km de la surface de l’océan indien, et l’analyse des données effectuée par l’ensemble des participants des différentes universités, en présence de la fédération internationale des technologies vertes aux États-Unis (IFGICT).