Placé sous contrôle judiciaire depuis le mois d’août 2019, pour son implication présumée dans le commerce illicite de stupéfiants, ce membre du Parti, La République en marche, fait l’objet d’une enquête approfondie des services de sécurité.
L’ex-militant du Hirak d’Al Hoceima dément toutefois ces allégations, et en impute la responsabilité à son concurrent à la présidence du Parti. Pour lui, il s’agit d’un règlement de comptes au sein de sa formation politique.
Ouarouss a rejoint le Parti, La République en marche, créé en 2016 par l’actuel Président de la France, Emmanuel Macron, après fait un passage au Parti socialiste.