Achraf Hakimi : un divorce sans le sou pour Hiba Abouk
Le latéral droit marocain du PSG Achraf Hakimi revient sur son divorce tumultueux avec l’actrice espagnole Hiba Abouk.
Le rappeur marocain Otmane Aatiq, alias Mister Crazy, continue de faire parler de lui avec son projet de « concert de divorce » à Tanger. Annoncée pour le mois prochain, cette initiative étrange divise l’opinion publique.
Si certains saluent l’originalité de cette idée, d’autres la jugent déplacée. Le principe ? Un événement payant (250 dirhams le billet !) où la rupture amoureuse serait célébrée en musique. Une formule qui a tout l’air d’une nouvelle stratégie marketing, certains y voyant une exploitation cynique d’une situation personnelle pour créer le buzz.
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Pour se justifier, l’artiste dit s’appuyer sur une coutume marocaine : « Dans le désert marocain, on célèbre aussi bien les mariages que les divorces », a-t-il posté sur Instagram. Le concept de Mister Crazy va bien au-delà, s’inscrivant dans une tendance plus large observée dans plusieurs pays arabes.
Or, cette tendance est loin de faire l’unanimité. Pour de nombreux observateurs, célébrer un divorce est en décalage avec les traditions et les valeurs familiales des sociétés arabes. « Manifester de la joie à l’occasion d’une séparation, c’est banaliser un événement douloureux », estiment certains experts.
D’autres nuancent ce point de vue. Pour eux, ce type d’initiative peut aussi exprimer une forme de soulagement ou de victoire après une épreuve difficile. Le divorce étant souvent vécu comme un échec personnel, le fait de le célébrer peut-être perçu comme un moyen de tourner la page et de reprendre sa vie en main.
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