Des médecins impliqués dans un réseau de trafic de tests PCR
Trois médecins du Centre hospitalier Hassan II de Fès ont été interpellés, la semaine dernière, pour leur implication présumée dans un réseau de trafic de tests PCR du Coronavirus.
La Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a adressé un courrier au ministre de la Santé, lui notifiant que le coût élevé des tests PCR entrave la réalisation des campagnes de dépistage en entreprises.
Après les particuliers, c’est au tour des entreprises de se plaindre de la hausse des prix des tests PCR. Le courrier de la CGEM envoyé au ministre de la Santé porte la signature du président Chakib Alj. Il est demandé à Khalid Ait Taleb, la mise en place « d’une offre unifiée et accessible » des tests PCR. « Compte tenu de la recrudescence du nombre des contaminations, il est nécessaire de maintenir un niveau élevé de vigilance, notamment via des dépistages massifs en entreprise ».
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Il explique dans sa correspondance que le fait que « l’offre actuelle de tests PCR soit hétérogène en termes de prix et reste peu abordable entrave sa réalisation ». La CGEM demande au ministre d’intervenir auprès des laboratoires afin de revoir à la baisse et d’unifier le coût des tests PCR, afin de permettre aux salariés et leurs familles « d’assurer la continuité de leurs activités dans des conditions saines ».
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Il y a quelques jours, la directrice du médicament et de la pharmacie avait annoncé que le ministère de la Santé allait se pencher sur les prix de vente au public des tests PCR. Les Marocains attendent que cette promesse soit tenue.
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