
Au Maroc, les mères célibataires continuent d’être victimes de préjugés et de discriminations. Pour preuve, la loi marocaine n’autorise pas ces femmes à demander des tests ADN pour établir la paternité de leur enfant.
Une convention de partenariat et de collaboration a été signée samedi soir au siège de Dar Attaliba à Laâyoune entre l’association belgo-marocaine "ASBL Déclik", basée à Bruxelles, et l’association Wissal.
Cette convention porte sur le développement des échanges et de la coopération entre les deux associations sur des questions relatives à l’amélioration des conditions de la femme et le développement d’activités au profit des enfants.
Cette convention offre un cadre de collaboration entre les deux associations dans différents domaines, notamment en ce qui concerne les questions de l’émancipation de la femme et l’appui aux enfants qui se trouvent en situation précaire.
La visite de plusieurs jeunes membres de l’association belge dans le sud du Maroc a permis aux visiteurs de concrétiser leur projet d’échange culturel avec les jeunes locaux et des représentants d’associations à Laâyoune. L’association ASBL Déclik a désigné un représentant dans la ville de Laâyoune qui sera chargé de développer de nouveaux partenariats avec des associations locales dans les provinces du sud du Royaume.
Vingt-quatre jeunes de l’association belgo-marocaine "ASBL Déclik", avaient entamé le 23 mars dernier un séjour de deux semaines dans la province de Laâyoune, dans le cadre d’un programme d’échange interculturel sur des questions de développement local. Ce programme de l’ASBL Déclik, intitulé "L’échange culturel Nord/Sud pour le développement durable de proximité", s’articule essentiellement autour d’une réflexion collective sur la gestion des ressources naturelles et la problématique du développement durable de proximité et vise la sensibilisation des jeunes à la protection des ressources hydriques.
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