A Tanger, il est interdit de griller les têtes de mouton
Le conseil communal de Tanger en sa qualité de police administrative interdit formellement de griller les têtes et les pattes des moutons du sacrifice rituel de l’Aïd Al-Adha,...
En Belgique, au lendemain de la célébration de l’Aïd Al Adha, les trottoirs de certaines communes étaient jonchés de sacs comportant des carcasses de moutons. Ceci, malgré l’interdiction de l’abattage à domicile en région bruxelloise.
À Schaerbeek par exemple, où les services de la propreté ont mis en place des dispositifs pour limiter la pollution de la ville en sacs de carcasses de moutons, "seulement 6 carcasses ont été trouvées le week-end dernier". Comparativement aux années précédentes, on note une "diminution drastique", se réjouit Déborah Lorenzino (DéFI), échevine de la Propreté publique de la ville. Dans la capitale, Bruxelles, le constat est édifiant. Comme en 2019, le nombre de sacs de carcasses "est très proche de zéro", précise-t-on.
En revanche, 50 sacs de carcasses ont été récupérés du week-end au lundi, à Anderlecht, indique La Capitale. Un chiffre légèrement en hausse, par rapport à l’année dernière où une trentaine ont été ramassés. Même tendance à Molenbeek où 165 carcasses ont été enregistrées dans les rues, contre une cinquantaine en 2019, bien loin du pic de 229 sacs retrouvés en 2016.
La situation est pire à Bruxelles-Propreté, où 239 sacs de carcasses ont été collectés entre le 31 juillet et le 2 août. Un chiffre en nette augmentation par rapport à 2019 où seulement 130 sacs ont été ramassés sur les voiries régionales.
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