Le ministère espagnol des Affaires étrangères, sous la houlette de José Manuel Albares, a retiré de son site internet une section consacrée au Maghreb et au Moyen-Orient. Auparavant, cette partie incluait l’engagement de l’Espagne pour...
"L’affaire du Sahara, ce n’est pas entre nous et le Polisario, mais entre nous et l’Algérie", a affirmé jeudi le chef du gouvernement Abdelilah Benkirane à son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, en marge de la conférence des Nations Unies sur le développement durable "Rio+20" au Brésil.
Abdelilah Benkirane insinuant auprès de son homologue turc que la résolution du conflit du Sahara était entre les mains de l’Algérie, avait déjà déclaré en mai dernier au quotidien El Pais, que si "l’Algérie le voulait, le problème du Sahara serait résolu en quelques jours".
Benkirane, fervent partisan de la réouverture des frontières algéro-marocaines, invite tout comme le Roi Mohammed VI, régulièrement l’Algérie à ouvrir une nouvelle page de ses relations avec le Maroc.
Après son entretien avec Recep Tayyip Erdogan, le chef du gouvernement marocain a expliqué à la presse que le Maroc voulait développer ses relations commerciales, économiques et politiques avec la Turquie.
Jeudi, Abdelilah Benkirane avait plaidé pour "la mise en œuvre d’un nouveau modèle à même d’assurer le développement durable dans ses dimensions économique, social et environnemental" lors de la séance plénière de la Conférence "Rio+20".
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