Le secrétaire général du Parti de la justice et du développement (PJD), Abdelilah Benkirane, a vivement critiqué, jeudi, lors du 18ᵉ forum national de la jeunesse de son parti, les récentes déclarations du ministre de la Justice appelant à une...
Une enquête a été ouverte par les autorités de la ville de Marrakech, suite à la diffusion sur les réseaux sociaux d’extraits de vidéos filmées dans une célèbre piscine privée et qui mettaient en scène des homosexuels, des prostituées et d’autres clients, en maillot de bain, dansant et s’adonnant à des attouchements.
La piscine où ont été filmées les vidéos incriminées a déjà été repérée et son patron se trouve en fuite, selon le journal Al Akhbar.
Située au quartier d’Annakhil, le lieu concerné, à en croire le même média, accueille des clients originaires des pays du Golfe et de l’Europe, de même que des Marocains résidant à l’Etranger (MRE) qui s’y rendent nombreux, en s’offrant des bouteilles d’alcool valant de 7000 à 30.000 dirhams.
Le prix d’accès à cette piscine d’ailleurs sélective, de 300 dirhams, favorise surtout les étrangers et les riches qui sont les clients privilégiés de cet endroit que les services compétents de la Wilaya ont déjà réussi à identifier, de même que les personnes apparaissant dans les vidéos qui elles, sont actuellement recherchées, fait savoir la même source.
Faut-il le souligner, le pot aux roses a été découvert lorsqu’un haut responsable marocain, accompagné de sa femme et de ses enfants, tous invités à cette piscine, ont été surpris par les jeunes stripteaseuses employées pour attirer plus de clients mais, également, "par la présence d’homosexuels et de prostituées”.
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