L’affaire Rachid M’Barki du nom de l’ex-présentateur franco-marocain du journal de la nuit de BFMTV, mis en examen pour « corruption passive » et « abus de confiance » n’a pas fini de livrer tous ses secrets.
L’ONG Transparency Maroc change de cap. Association de lutte contre la corruption, cette ONG avait toujours refusé d’être une instance d’enregistrement des plaintes des citoyens dénonçant la corruption.
Eh bien, l’association dirigée par Azeddine Akesbi se rétracte en venant de créer « une cellule d’accueil des plaintes des citoyens victimes de la corruption et de l’absence de la transparence », structure rattachée à son « Observatoire National de la Corruption ».
A cette fin, l’association met à la disposition des citoyens voulant dénoncer la corruption, un numéro de téléphone (02 254 26 99) et une adresse e-mail onc@menara.ma. Mais Transparency exige que les plaintes soient détaillées et accompagnées de preuves probantes.
Ceux qui veulent présenter leurs plaintes par écrit doivent se rendre au siège de l’Observatoire ouvert chaque vendredi de 10h30 à 16h30, Avenue Abtal, rue Oum Rabie, N° 36 Rabat.
Le Reporter
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