Le problème de l’assèchement du lac Tamda dans la province d’Azilal préoccupe le député Saïd Atghlast qui a adressé une question écrite à la ministre du Tourisme, de l’artisanat, de l’économie sociale et solidaire à ce sujet.
Une touriste hongroise, globetrotteuse, avait décidé de passer 3 mois au Maroc. Au bout de 3 semaines elle pense déjà à quitter les lieux. La cause : Les hommes !
Harcelée où qu’elle va, escroquée un peu partout, ainsi peut-on résumer ce que cette Hongroise dit avoir vécu. Et elle a plusieurs fois considéré de quitter le pays à cause du comportement des hommes à son égard.
Dans un papier qu’elle a écrit sur theglobetrottingdetective.com, cette dernière, du nom de Diana Lesko, écrit tout un pavé au sujet de son dégoût et de ses causes. La globetrotteuse confesse : « j’ai vécu tellement de situations insensées, bizarres et horribles que je me suis demandé : Mais qu’est-ce que je fiche là ? J’aime le Maroc en tant que pays et pour toute la beauté qu’il possède, mais certains hommes marocains rendent ma vie difficile ».
Ainsi, par exemple, elle aurait travaillé comme bénévole dans un hôtel où on ne l’aurait ni bien accueillie ni bien traitée (on lui a dit ce qui signifie « moins de travail, moins de nourriture »), et on ne lui aurait même pas épargné la peine de ne pas être dépouillée, cela à Taghazoute. Elle y a perdu beaucoup de choses…
Direction Essaouira où la demoiselle affirme avoir été constamment harcelée. Un moniteur lui aurait, après une balade à cheval, demandé son numéro de téléphone. Et la voilà pliant bagage pour se rendre à Marrakech.
Là, dans un hôtel où elle choisit également de travailler comme bénévole, le gérant lui demande de l’embrasser. Cette dernière dit à son sujet : « « Il a 23 ans. Son père est imam. Il était très gentil avec moi, même un peu trop… »
Et des exemples de ce genre, elle en énonce beaucoup. Un vrai ras-le-bol donc !
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