« Par rapport au planning initial qui prévoyait la mise en service pour la fin de l’année 2015, un retard de 18 mois a été constaté, ce qui portera finalement cette date à la fin du premier semestre de l’année 2017 », rapporte le site La Vie Eco.
S’il y a du retard, c’est surtout à cause des procédures d’expropriation du foncier même si aujourd’hui il a atteint 98%, ajoute la même source.
Concernant les avancées des travaux, le taux de réalisation global se situe autour de 60%, « 69% pour les études et travaux de génie civil, 59% pour les équipements ferroviaires et 52% pour la logistique et l’approvisionnement », précise La Vie Eco.
En plus du retard prévu, on s’attend à ce que la facture finale soit encore plus salée. L’ONCF se voit dans l’obligation de payer l’entreposage des rames dans les ateliers de la société française Alstom. Les ateliers de l’ONCF, qui devaient normalement être prêts ou en phase de finalisation à Tanger et Casablanca, accusent eux aussi un retard de près de 18 mois.