
Des partisans d’Al-Qaïda et de l’État islamique (EI) estiment que le tremblement de terre du 8 septembre au Maroc est une « punition divine ». Sans manquer de critiquer l’aide internationale dont bénéficient les victimes.
Quelques jours après l’arrestation dans la région d’Oujda du ressortissant algérien lié à l’organisation de l’Etat islamique, le ministre de l’Intérieur vient de donner quelques précisions sur ses projets.
L’interpellation de ce présumé terroriste a été rendue publique le dimanche 25 janvier. Ce dernier était en possession d’importantes quantités de matières dangereuses, ainsi que d’autres substances cachées dans la forêt. Il avait également plusieurs pistolets automatiques et des appareils de communication.
Après expertise, il s’est avéré que c’est de l’Acide Nitrique, du Nitrate d’Ammonium, du Soufre et du Sulfate de Potassium, produits entrant, selon le ministère, dans la fabrication de bombes artisanales, dans le but d’exécuter des attaques terroristes dans le pays.
Ce membre de l’organisation « Jound Al Khilafa » comptait recruter des membres au Maroc pour les soumettre à des entraînements militaires en Algérie pour, ajoute le ministère, « proclamer le jihad dans les pays du Maghreb et d’Europe ».
Une personne qui se trouvait en compagnie du ressortissant algérien est en cours d’identification par les services de police. Il s’agit d’un individu originaire de la région.
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