Diligentée par le ministère de l’Education nationale, cette enquête intervient après un mouvement de protestation organisé vendredi dernier dans l’enceinte du lycée, entraînant la suspension des cours, rapporte le journal Assabah.
La justice s’est également emparée cette affaire, précise la même source, selon laquelle une plainte a été déposée par les parents d’une lycéenne de 16 ans après avoir été alertés par leur fille. Cette dernière affirme que le directeur a profité de l’absence de ses assistants pour la harceler sexuellement dans son bureau. Elle aurait crié quand il a tenté de la toucher avant de prendre la fuite.
Les professeurs, eux, maintiennent leur solidarité et leur soutien au directeur et accusent l’une des responsables de l’Association de parents d’élèves d’être derrière cette affaire.