Pour relancer le tourisme, le Maroc compte sur les nationaux
Face à l’impact du covid-19 sur le tourisme mondial, le Maroc pourrait miser sur le tourisme interne afin de relancer un secteur en agonie.
La situation du personnel de l’hôtel de luxe, Sofitel Agadir Royal Bay Resorts, est dans l’expectative, après le divorce entre son principal actionnaire émirati et la société Risma, représentant légal du groupe français Accor.
Selon le site Agadir24, l’homme d’affaires originaire du Golfe n’envisage pas de prolonger l’accord de gestion avec la société marocaine, dont le contrat arrive à son terme au mois de juin.
Le gel des relations entre les deux partenaires aurait contribué à l’enlisement de la situation de l’une des structures hôtelières les plus dynamiques de la région, entraînant la perte de centaines d’emplois.
Après avoir affiché des taux de remplissage d’au moins 70 % durant des années, le gestionnaire de l’hôtel 5 étoiles a décidé d’abandonner hôtel et personnel, sans verser les 50 % des salaires promis au début de la crise du covid-19.
Après s’être saisies du dossier, les autorités locales ont proposé au Conseil d’administration lors d’une réunion qui s’est tenue le mardi 27 mai, plusieurs mesures urgentes en vue de trouver un compromis avec le personnel de l’hôtel.
Aller plus loin
Face à l’impact du covid-19 sur le tourisme mondial, le Maroc pourrait miser sur le tourisme interne afin de relancer un secteur en agonie.
C’est une reconnaissance et un couronnement des efforts fournis depuis de nombreuses années par le Casablanca hôtel qui vient de remporter le prix du "Meilleur hôtel d’Affaires...
L’hôtel de luxe, le Sofitel Agadir Royal Bay Resort, aurait mis les clefs sous la porte, après avoir libéré l’ensemble de son personnel.
Le secteur du tourisme reste sérieusement affecté par la pandémie du coronavirus et devra batailler dur pour redorer son blason et restaurer les chiffres qui faisaient sa fierté.
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