"Nous devons trouver une solution politique juste durable et mutuellement acceptable au conflit du Sahara, tel que stipulé par les résolutions du Conseil de sécurité et dans le cadre des dispositions respectant les buts et principes contenus dans la Charte des Nations-Unies", a affirmé M. Sanchez dans une allocution vidéo pré-enregistrée. En 2019, M. Sanchez avait affiché cette position devant la même Assemblée, fait savoir la MAP.
Pour sa part, le président du Burkina Faso, M. Roch Marc Christian Kaboré a indiqué que "les résultats notables qui ont été réalisés suite à la tenue des deux tables rondes de Genève, entre l’Algérie, le Maroc, la Mauritanie et le Polisario, méritent d’être consolidés". Ceci permettra d’aboutir à une solution politique consensuelle à la question du Sahara marocain.
"Et pour ce faire, le Burkina Faso souhaite la nomination d’un nouvel envoyé spécial (de l’ONU) pour poursuivre l’œuvre de son prédécesseur", Hörst Kohler qui avait démissionné l’année dernière pour des raisons de santé, a déclaré le président Burkinabé.