Une vingtaine de parlementaires marocains sont dans le collimateur de la justice. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux, abus de pouvoir, dilapidation et détournement de fonds publics.
Un président de commune vient d’être arrêté en flagrant délit de corruption après un piège tendu par la gendarmerie royale à Sidi Daoud.
Il aurait promis un emploi à un homme en échange d’une somme de 600 dirhams. Mercredi, il a été interpellé dans un café alors qu’il recevait de l’argent, explique le journal Assabah qui fait savoir que les numéros de série avaient été relevés auparavant par les enquêteurs.
D’après le journal, le Parti de la Justice et du développement (PJD), formation politique dont la lutte contre la corruption fait pourtant partie de ses mesures phares, a désavoué l’élu.
En début de semaine, un officier principal et un brigadier chef ont été arrêtés la main dans le sac à Marrakech après avoir reçu 2.000 dirhams de la part d’un gérant de café.
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