Ce nouveau modèle devait être initialement monté dans l’usine du fabricant nippon située dans la zone franche de Barcelone, mais, à la dernière minute, la direction du groupe au Japon a pris la décision de le réserver pour le site projeté par le français Renault à Tanger.
Cette nouvelle usine devrait produire quelques 400.000 véhicules par an, dont 80 pour cent de la marque Dacia-Logan et le reste pour les autres modèles de Nissan.
Pour justifier la délocalisation sur le futur site marocain de l’Alliance Renault-Nissan et apaiser les protestions des syndicats, le patron de Nissan Motor Iberica a estimé qu’elle était dictée par la "permanente adaptation du secteur" et ne constituait pas "le début de la fin" de l’usine espagnole.